—Editor ↩
From fools who dread to know the truth of Life.
—[MS. erased]
Compare
“Inscription on the Monument of a Newfoundland Dog,”
lines 7, sq., Poetical Works, 1898, I 280
—Editor ↩
Aleksandr Vasilievitch Suvóroff (1729–1800) opened his attack on Ismail, November 30, 1790. His forces, including Kossacks, exceeded 27,000 men.—Essai sur l’Histoire Ancienne et Moderne de la Nouvelle Russie, par le Marquis Gabriel de Castelnau, 1827, II 201. —Editor ↩
“Ismaël est situé sur la rive gauche du bras gauche (i.e. the ilia) du Danube.”
—Essai sur l’Histoire Ancienne et Moderne de la Nouvelle Russie
—Editor ↩
—“à peu près à quatre-vingts verstes de la mer: elle a près de trois milles toises de tour.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, II 201
—Editor ↩
“On a compris dans ces fortifications un faubourg moldave, situé à la gauche de la ville, sur une hauteur qui la domine: l’ouvrage a été terminé par un Grec. Pour donner une idée des talens de cet ingénieur, il suffira de dire qu’il fit placer les palissades perpendiculairement sur le parapet, de manière qu’elles favorisaient les assiégeans, et arrêtaient le feu des assiégés.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, p. 202
—Editor ↩
“Le rempart en terre est prodigieusement élevé à cause de l’immense profondeur du fossé; il est cependant absolument rasant: il n’y a ni ouvrage avancé, ni chemin couvert.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, p. 202
—Editor ↩
Casemate is a work made under the rampart, like a cellar or cave, with loopholes to place guns in it, and is bomb proof. —Milit. Dict. —Editor ↩
When the breastwork of a battery is only of such height that the guns may fire over it without being obliged to make embrasures, the guns are said to fire in barbet. —Milit. Dict. —Editor ↩
“Un bastion de pierres, ouvert par une gorge très-étroite, et dont les murailles son fort épaisses, a une batterie casematée et une à barbette; il défend la rive du Danube. Du côté droit de la ville est un cavalier de quarante pieds d’élévation à pic, garni de vingt-deux pièces de canon, et qui défend la partie gauche.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, II 202
—Editor ↩
“Du côté du fleuve, la ville est absolument ouverte; les Turcs ne croyaient pas que les Russes pussent jamais avoir une flotille dans le Danube.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, p. 203
—Editor ↩
Meknop [supposed to be a corruption of McNab], etc., in line three, are real names: Strongenoff stands for Strogonof, Tschitsshakoff for Tchitchagof, and, perhaps, Chokenoff for Tchoglokof. —Editor ↩
—these discords of damnation.
—[MS. erased]
“La première attaque était composée de trois colonnes, commandées par les lieutenans-généraux Paul Potiemkin, Serge Lwow, les généraux-majors Maurice Lascy, Théodore Meknop. … Trois autres colonnes … avaient pour chefs le comte de Samoïlow, les généraux Êlie de Bezborodko, Michel Koutousow; les brigadiers Orlow, Platow, Ribaupierre. … La troisième attaque par eau n’avait que deux colonnes, sous les ordres des généraux-majors Ribas et Arséniew, des brigadiers Markoff et Tchépéga,” etc.
—Hist. de la Nouvelle Russie, II 207
Compare—
“Oscharoffsky and Rostoffsky,
Southey’s “March to Moscow,” 1813
And all the others that end in-offsky.
⋮
And Kutousoff he cut them off,” etc.
—Editor ↩
Count Boris Petrowitch Scheremetov, Russian general, died 1819; Prince Alexis Borisovitch Kourakin (1759–1829), and Count Alexis Iwanowitch Moussine-Pouschkine (1744–1817) were distinguished statesmen; Chrematoff is, perhaps, a rhyming double of Scherematoff, and Koklophti “a match-piece” to Koclobski. —Editor ↩
Captain Smith, in the song—
“A Captain bold, in Halifax,
That dwelt in country quarters,
Seduc’d a maid who hang’d herself
One Monday in her garters.”
See George Colman’s farce, Love Laughs at Locksmiths, 1818, p. 31. —Editor ↩
Compare—
“While to my shame I see
Hamlet, act IV sc. 4, lines 56–59
The imminent death of twenty thousand men,
That for a fantasy and trick of fame
Go to their graves like beds.”
—Editor ↩
The Conquest seemed not difficult—.
—[MS. erased]
“On s’était proposé deux buts également avantageux, par la construction de deux batteries sur l’île qui avoisine Ismaël: le premier, de bombarder la place, d’en abattre les principaux édifices avec du canon de quarante-huit, effet d’autant plus probable, que la ville étant bâtie en amphithéâtre, presque aucun coup ne serait perdu.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, II 203
—Editor ↩
“Le second objet était de profiter de ce moment d’alarme pour que la flottille, agissant en même temps, put détruire celle des Turcs. Un troisième motif, et vraisemblablement le plus plausible, était de jeter la consternation parmi les Turcs, et de les engager à capituler.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, II 203
—Editor ↩
Unless they are as game as bull-dogs or even tarriers.
or,
A thing which sometimes hath occurred to warriors,
—[MS. A. Alternative reading]
Unless they happened to be as game as tarriers.
Unless they are Game as bull-dogs or even terriers.
—[MS. B]
(Byron erased the reading of MS. B and superscribed the reading of the text.) ↩
“Une habitude blâmable, celle de mépriser son ennemi, fut la cause.”
—Hist. de la Nouvelle Russie, p. 203
—Editor ↩
“… du défaut de perfection dans la construction des