D'avoir brule, d'avoir glisseC'est que j'ai envie d'avoir cheriEt que le diable me pardonne toutes mes belles enviesC'est que j'ai envie d'avoir vuEt d'avoir fremiC'est que j'ai envie d'avoir connuEnvie d'avoir conquisC'est que j'ai envie d'avoir creuse,D'avoir rame, d'avoir tout euEt envie d'avoir tout perduEt que le diable me pardonne ces envies saugrenuesMais le temps me plie, m'enliseJe m'y brise les dents, c'est lui le gagnantAlors j'ai envie d'avoir gouteD'avoir entenduAlors j'ai envie d'avoir danseD'avoir touche les nuesAlors j'ai envie d'avoir prie,D'avoir desire, devoreJe veux avoir chante et buEt que le diable me pardonne ces envies sans retenueMais le temps m'embarque, il me nargueIl m'emporte surement et doucement le tempsAlors j'ai envie d'avoir aimeD'avoir adoreAlors j'ai envie d'avoir mauditEt d'avoir detesteAlors j'ai envie d'avoir voulu, d'avoir morduD'avoir crie, d'avoir soupire et griffeEt que le bon Dieu me pardonne ces quelques doux peches {x2}Que le bon Dieu me pardonneQue le diable me pardonneQue le diable me pardonneQue le bon Dieu me pardonneQue le diable me pardonne
Quelqu'un m'a dit
2002 'Quelqu'un m'a dit'
On me dit que nos vies ne valent pas grand choseElles passent en un instant comme fanent les roses.On me dit que le temps qui glisse est un salaudQue de nos chagrins il s'en fait des manteauxPourtant quelqu'un m'a dit…
{Refrain:}
Que tu m'aimais encoreC'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore.Serait-ce possible alors?On me dit que l'destin se moque bien de nousQu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet toutParait que le bonheur est a portee de mainAlors on tend la main et on se retrouve fouPourtant quelqu'un m'a dit…
{au refrain}
Mais qui est-ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais?Je ne me souviens plus c'etait tard dans la nuitJ'entends encore la voix, mais je n'vois plus les traits'Il vous aime, c'est secret, lui dites pas que j'vous l'ai dit'Tu vois quelqu'un m'a dit…Que tu m'aimais encore – me l'a-t-on vraiment dit?Que tu m'aimais encore, serait-ce possible alors?On me dit que nos vies ne valent pas grand choseElles passent en un instant comme fanent les rosesOn me dit que le temps qui glisse est un salaudQue de nos tristesses il s'en fait des manteaux