Precher pour la revolutionLe cou charge de pierres finesPayees par l' or de vos contratsVous jouez de facon divineLe role de PassionariaPrete a tout bruler sur la terreMais la nuit quand tu viens me voirC' est toi qu' as le feu aux arteresAux arteres et puis autre partJe sais que vous, je sais que tuVous que j' admireToi qui m' attiresJe sais que vous, je sais que tuEs respectable, mais sans vertuLe verre en cristal de BohemeDonne au vin rouge un autre goutQuant au caviar, c' est sans problemePuisqu' il vient tout droit de BakouVous savez de facon subtileManger a tous les rateliersFaut des appuis, c' est tres utileEt des amis de tous cotesVous de gauche, allons ca m' epateQuand j' ai le sentiment, ma chereQue tu n' es pas si maladroiteQuand tu veux t' envoyer en l' airJe sais que vous, je sais que tuVous que j' admireToi qui m' attiresJe sais que vous, je sais que tuEs respectable, mais sans vertu
Yerushalaim
De temps en tempsComme un enfantMa pensee te dessineYerushalaimDe loin en loinTu n' est plus qu' unReve qui tombe en ruineYerushalaimTel ces emigrantsDont les yeux brulantsS' ouvrent a l' echo de ton nomD' au-dela des mersSouvent a traversD' hostiles et dures regionsJ' etais venuMains vides et pieds nuA toi YerushalaimPour me garderTu as cloueL' amour dans ma poitrineYerushalaimOu sont mes joiesN' y a-t-il pasDe bonheur sans epines?YerushalaimTout s' est acharnePour nous dechirerEt le brouillard de nos pleuresA trouble l' azurElevant un murEntre son c?ur et mon c?urMais j' ai en moiL' espoir toutefoisQue l' amour encoreRenaisse et vive encorePour nous a Yerushalaim