autres interpretes: Helene Segara, Les Enfoires, Pascal Obispo ('Derniere edition avant l'an 2000' des Enfoires, 1999)

Elle te fera changer la course des nuages Balayer tes projets, vieillir bien avant l'age Tu la perdras cent fois dans les vapeurs des ports C'est ecrit Elle rentrera blessee dans les parfums d'un autre Tu t'entendras hurler: 'Que les diables l'emportent!' Elle voudra que tu pardonnes, et tu pardonneras C'est ecrit Elle n'en sort plus de ta memoire Ni la nuit, ni le jour Elle danse derriere les brouillards Et toi, tu cherches et tu cours. Tu prieras jusqu'aux heures ou personne n'ecoute Tu videras tous les bars qu'elle mettra sur ta route T'en passeras des nuits a regarder dehors. C'est ecrit Elle n'en sort plus de ta memoire Ni la nuit, ni le jour Elle danse derriere les brouillards Et toi, tu cherches et tu cours Mais y a pas d'amours sans histoires. Et tu reves, tu reves Qu'est-ce qu'elle aime, qu'est-ce qu'elle veut? Et ces ombres qu'elle te dessine autour des yeux Qu'est-ce qu'elle aime? Qu'est-ce qu'elle reve, qui elle voit? Et ces cordes qu'elle t'enroule autour des bras Qu'est-ce qu'elle aime? Je t'ecouterai me dire ses soupirs, ses dentelles Qu'a bien y reflechir, elle n'est plus vraiment belle Que t'es deja passe par des moments plus forts Depuis… Elle n'en sort plus de ta memoire Ni la nuit, ni le jour Elle danse derriere les brouillards Et toi, tu cherches et tu cours Mais y a pas d'amours sans histoires. Oh tu reves, tu reves Elle n'en sort plus de ta memoire Elle danse derriere les brouillards Et moi j'ai vecu la meme histoire Depuis je compte les jours Depuis je compte les jours Depuis je compte les jours

C'etait l'hiver

Paroles et Musique: Francis Cabrel 1979 'Les chemins de traverse'

autres interpretes: Isabelle Boulay (1998)

Elle disait 'j'ai deja trop marche, Mon c?ur est deja trop lourd de secrets, Trop lourd de peines' Elle disait 'je ne continue plus, Ce qui m'attend, je l'ai deja vecu. C'est plus la peine' Elle disait que vivre etait cruel Elle ne croyait plus au soleil Ni aux silences des eglises Meme mes sourires lui faisaient peur C'etait l'hiver dans le fond de son c?ur Elle disait que vivre etait cruel Elle ne croyait plus au soleil Ni aux silences des eglises Meme mes sourires lui faisaient peur C'etait l'hiver dans le fond de son c?ur Le vent n'a jamais ete plus froid La pluie plus violente que ce soir-la Le soir de ses vingt ans Le soir ou elle a eteint le feu Derriere la facade de ses yeux Dans un eclair blanc Elle a surement rejoint le ciel Elle brille a cote du soleil Comme les nouvelles eglises
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