Il a dit 'Je retourne en arriere Je n'ai pas trouve ce que je veux' Il a dit 'Je retourne en arriere' Il s'est brule les yeux Il s'est brule les yeux Sur son lopin de terre Sur son vieil arbre tordu au milieu Aux reflets de la douce lumiere du soir Pres du feu Qui rechauffait son pere Et la troupe entiere de ses aieux Au soleil sur les murs de poussiere Il s'est brule les yeux (x3)

Les pantins de naphtaline

Paroles et Musique: Francis Cabrel 1979 'Les chemins de traverse'

La petite fille de mes dimanches Mettait toujours sa jupe plissee Elle marchait raide comme une planche Pour pas salir le verni des souliers Si ses boucles brillaient au soleil Elles sentaient les bigoudis de la veille Elle portait sa couronne d'epines Pauvre pantin de naphtaline On me mettait des socquettes blanches On me faisait la raie sur le cote Dans mon beau pantalon du dimanche J'allais faire semblant de prier J'arrivais le premier a l'eglise Pour ne pas que les autres medisent On mettait les enfants en vitrine Pauvres pantins de naphtaline J'aurais toujours au fond de moi Cette image jaunie Cette odeur d'autrefois J'aurais toujours au fond de moi Mais aujourd'hui je quittais mon village Dans mon quartier, pas de clocher Et les gamins du quinzieme etage Emmenent leurs copines au cine Mais chaque fin de semaine Il y a des images qui reviennent Et chaque fois qu'un samedi se termine Je revois les pantins de naphtaline J'aurais toujours au fond de moi Cette image jaunie Cette odeur d'autrefois J'aurais toujours au fond de moi La petite fille de mes dimanches Qui mettait toujours sa jupe plissee Et qui marchait raide comme une planche Pour pas salir le verni des souliers La petite fille de mes dimanches Qui mettait toujours sa jupe plissee Et qui marchait raide comme une planche Pour pas salir le verni des souliers

Les passantes

Paroles: Antoine Pol. Musique: Jean Bertola

autres interpretes: Francis Cabrel

Je veux dedier ce poeme A toutes les femmes qu'on aime Pendant quelques instants secrets A celles qu'on connait a peine Qu'un destin different entraine Et qu'on ne retrouve jamais A celle qu'on voit apparaitre Une seconde a sa fenetre Et qui, preste, s'evanouit Mais dont la svelte silhouette Est si gracieuse et fluette Qu'on en demeure epanoui A la compagne de voyage Dont les yeux, charmant paysage Font paraitre court le chemin Qu'on est seul, peut-etre, a comprendre Et qu'on laisse pourtant descendre Sans avoir effleure sa main
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