Au lieu de s'ecrier: ' Encor! Hardi! Hardi! ' Elle declame du Claudel, du Claudel, j'ai bien dit Alors ca, ca me fige! Elle m'emmerde, elle m'emmerde, j'admets que ce Claudel Soit un homme de genie, un poete immortel J'reconnais son prestige Mais qu'on aille chercher dedans son ?uvre pie Un aphrodisiaque, non, ca, c'est d'l'utopie Elle m'emmerde, vous dis-je Paroles et Musique: Georges Brassens 1976
Avec leurs gniards Mignons mignards, Leur beau matou, Leur gros toutou, Les pharisiens, Les beotiens, Les aoutiens, Dans leur auto, Roulent presto, Tombeau ouvert, Descendant vers La grande mare, En passant par Montelimar. {Refrain:}
Dites d'urgence A ces engeances De malheur Et a leurs Gniards Que chiens, chats N'aiment Pas l' nougat Meme Meme celui D'Montelimar. Helas bientot Le mal d'auto Va deranger Les passagers. Le beau matou, Le gros toutou, Pas fiers du tout – Ca fait fremir – S'en vont vomir Et meme pis Sur les tapis Et les coussins A beaux dessins, C'est tres malsain. C'est tres facheux, C'est plus du jeu, Et coetera. Et alors a Montelimar, On en a marre Du cauchemar. Boutant presto Hors de l'auto Le beau matou, Le gros toutou, Ces handicaps Sur Digne, Gap, On met le cap. Alors tous ces Petits poucets, Ces beaux matous, Ces gros toutous, En ribambelle Ont sans appel Droit au scalpel. Les aoutiens Les beotiens Qui font ca n'ont Pas d'ame, non, Que leur auto Bute presto