Comme tous les jours mes bras t'enlev'ront Nos dindes, nos truies nous suivront legeres Ne r'pousse pas du pied mes p'tits cochons Va, comme hier! comme hier! comme hier! Si tu ne m'aimes point, c'est moi qui t'aim'rons La vie, c'est toujours amour et misere La vie, c'est toujours les memes chansons J'ai tant de respect pour ton c?ur, Therese Et pour tes dindons, quand nous nous aimons Quand nous nous fachons, he! ma jolie fraise Ne r'pousse pas du pied mes p'tits cochons Va, comme hier! comme hier! comme hier! Si tu ne m'aimes point, c'est moi qui t'aim'rons L'un tient le couteau, l'autre la cuiller La vie, c'est toujours la meme chansons

Comme une soeur

Paroles: Georges Brassens. Musique: Georges Brassens 1958

Comme une s?ur, tete coupee, tete coupee Ell' ressemblait a sa poupee, a sa poupee, Dans la riviere, elle est venue Tremper un peu son pied menu, son pied menu. Par une ruse a ma facon, a ma facon, Je fais semblant d'etre un poisson, d'etre un poisson. Je me deguise en cachalot Et je me couche au fond de l'eau, au fond de l'eau. J'ai le bonheur, grace a ce biais, grace a ce biais, De lui croquer un bout de pied, un bout de pied. Jamais requin n'a, j'en reponds, Jamais rien goute d'aussi bon, rien d'aussi bon. Ell' m'a puni de ce culot, de ce culot, En me tenant le bec dans l'eau, le bec dans l'eau. Et j'ai du, pour l'apitoyer, Faire mine de me noyer, de me noyer. Convaincu' de m'avoir occis, m'avoir occis, La voila qui se radoucit, se radoucit, Et qui m'embrasse et qui me mord Pour me ressusciter des morts, citer des morts. Si c'est le sort qu'il faut subir, qu'il faut subir, A l'heure du dernier soupir, dernier soupir, Si, des noyes, tel est le lot, Je retourne me fiche a l'eau, me fiche a l'eau. Chez ses parents, le lendemain, le lendemain, J'ai couru demander sa main, d'mander sa main, Mais comme je n'avais rien dans La mienne, on m'a crie: 'Va-t'en!', crie: 'Va-t'en!' On l'a livree aux appetits, aux appetits D'une espece de mercanti, de mercanti, Un vrai maroufle, un gros sac d'or, Plus vieux qu'Herode et que Nestor, et que Nestor. Et depuis leurs noces j'attends, noces j'attends, Le c?ur sur des charbons ardents, charbons ardents, Que la Faucheuse vienne cou- – per l'herbe aux pieds de ce grigou, de ce grigou. Quand ell' sera veuve eplore', veuve eplore', Apres l'avoir bien enterre, bien enterre, J'ai l'esperance qu'elle viendra Faire sa niche entre mes bras, entre mes bras.

Concurrence deloyale

Paroles et Musique: Georges Brassens 1966

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