Paroles: Gildas Arzel. Musique: Gildas Arzel 2000 'Autour de nous'
Je laverai le pont pour sentir le sel Je monterai aux voiles pour la peur et ses ailes Je lirai les cartes eternelles Je nommerai de memoire tous les archipels Je volerai aux phares le secret de leur feu Aux astres le sort que je veux Et je toucherai ton ile, a l'instinct, sans detour Aux reflets d'une mer de velours Et je toucherai ton ile, aux etoiles, sans secours A l'amour, au point de non retour Je saurai les lois, des grands paralleles Les bois, les epices, les facons qu'elles se melent Aupres des lointains, des langues nouvelles Je ferai ma foi, mes refrains et mon miel J'aurai les gestes qui donnent le plaisir Pour le coeur des nuits a venir Et je toucherai ton ile, a l'instinct, sans detour Aux reflets d'une mer de velours Et je toucherai ton ile, aux etoiles, sans secours A l'amour, au point de non retour Tous ces bijoux de verre contre un abri sur ton ile Et je toucherai ton ile, a l'instinct, sans detour Et j'en decouvrirai les contours Et je toucherai ton ile, aux etoiles, sans secours Et je t'apprendrai toi chaque jour Paroles: Gildas Arzel. Musique: Gildas Arzel 1991 'Les gens du voyage'
Et un jour une voix plus forte Que la voix de mon pere M'a emporte plus haut que la terre Et ces mots que je comprenais On m'a dit que c'etait de l'anglais Alors j'ai invente un grand frere C'est dans mes rires C'est dans mes larmes C'est un bateau a roue Qui emporte Mary C'est dans mes rires C'est dans mes larmes Il emporte Mary Sur le Mississipi On m'a dit quand tu seras grand Tu changeras avec les vents Il y aura d'autres choix dans ton coeur Et on m'a dit que souvent Les voix se taisent avec le temps Mais j'entends toujours chanter le grand frere Il viendra me voir tous les soirs Tant que je voudrai y croire Long As I Can See The Light Paroles: Gildas Arzel. Musique: Gildas Arzel 2000 'Autour de nous'
Il faudra bien que tout ca sorte, un jour ou l'autre Au grand jour et sans telephone, un jour ou l'autre Tu me trouveras a ta porte, un jour ou l'autre Il faudra que tu me pardonnes, un jour ou l'autre… Celles qui venaient, qui fermaient tes volets Pour te cacher, ne viendront plus jamais