On partageait tout et on n'avait rien Qu'est-ce qu'on etait fou, qu'est-ce qu'on c'en foutait Qu'est-ce qu'on etait bien Paroles: Pierre Delanoe amp; Claude Lemesle. Musique: S.Ward, P.Losito, Pallavicini amp; S.Custugno 1988
Tu sais, je n'ai jamais ete aussi heureux que ce matin-la Nous marchions sur une plage un peu comme celle-ci C'etait l'automne, un automne ou il faisait beau Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amerique La-bas on l'appelle l'ete indien Mais c'etait tout simplement le notre Avec ta robe longue tu ressemblais A une aquarelle de Marie Laurencin Et je me souviens, je me souviens tres bien De ce que je t'ai dit ce matin-la Il y a un an, y a un siecle, y a une eternite On ira ou tu voudras, quand tu voudras Et on s'aimera encore, lorsque l'amour sera mort Toute la vie sera pareille a ce matin Aux couleurs de l'ete indien Aujourd'hui je suis tres loin de ce matin d'automne Mais c'est comme si j'y etais. Je pense a toi. Ou es-tu? Que fais-tu? Est-ce que j'existe encore pour toi? Je regarde cette vague qui n'atteindra jamais la dune Tu vois, comme elle je reviens en arriere Comme elle je me couche sur le sable Et je me souviens, je me souviens des marees hautes Du soleil et du bonheur qui passaient sur la mer Il y a une eternite, un siecle, il y a un an On ira ou tu voudras, quand tu voudras Et on s'aimera encore lorsque l'amour sera mort Toute la vie sera pareille a ce matin Aux couleurs de l'ete indien Le jour l'eveille, elle se leve, s'habille et ne dit rien Sur son visage glisse une larme et ses yeux se sont eteints Et deja, c'est en vain que tu cherches l'ombre d'un amour Sous ses larmes, l'ombre d'un amour, l'ombre d'un chagrin Elle se maquille mais dans la glace, pas un regard pour toi Une cigarette… le cafe passe. Elle dit que c'est fini Qu'elle s'en va. Et deja, c'est en vain que tu cherches L'ombre d'un amour, sous les larmes, l'ombre d'un amour Elle range ses cheveux et sa main tremble un peu Puis elle va regarder si elle est jolie; si tout va bien Si son rimmel n'a pas coule, si elle n'oublie rien Midi, la gare, tu ne veux pas croire qu'elle ne reviendra pas Paroles: Jean-Michel Rivat, Frank Thomas. Musique: Joe Dassin 1968
autres interpretes: Richard Gotainer
A la Societe Generale Une auto demarra et dans la terreur La bande a Bonnot mit les voiles Emportant la sacoche du garcon payeur Dans la De Dion-Bouton qui cachait les voleurs Octave comptait les gros billets et les valeurs Avec Raymond-la-Science les bandits en auto C'etait la bande a Bonnot