Mais tout s'efface, tout se remplace, SylvieReves d'enfants, Sylvie, reves de grands aussiEt le bonheur lui-meme passe, SylvieComme le temps, Sylvie, comme le vent, SylvieOn perd jusqu'a la memoireD'un air que l'on a chanteEt cet instant et ce visageQue l'on voudrait se rappelerNe sont que des chateaux de sableBientot la mer va remonterQui se souvient de nous, SylvieQui peut penser a nous,Qui sait encore qu'il y a longtempsOn s'aimait fort, on s'aimait tantMais on s'est sans doute fait des promesses, SylvieT'en souviens-tu, Sylvie, je ne sais plus, SylvieAmour d'un jour, amour de jeunesse, SylvieSe sont perdus, Sylvie, et tu n'es plus qu'un oubli
Taka Takata (La femme du torero)
Taka takata kata kata kataJ'entends mon c?ur qui batTaka takata kata kata kataAu rythme de ses pasLa sangria coulaitA la feria de ToledeLa fille qui dansaitM'etait montee a la teteQuand un banderilloMe dit ' l'ami, reste calmePrends garde au toreroSi tu regardes sa femme 'Mais elle s'avance vers moiEt laisse tomber sa roseAvec un billet qui proposeUn rendez-vous a l'haciendaOn s'etait enlaces sous l'orangerMais la duena dont c'etait le metierCriait ' vengeance, aux arenes! 'Le matador trompeSurgit de l'ombre et s'avanceMoi, sur mon orangerJ'essaie de faire l'orangeTaka takata kata kata kataJ'entends mon c?ur qui batTaka takata kata kata kataAu rythme de ses pas' L'homme, tu vas payer 'Dit-il, ' voici l'estocadeMes picadors sont pretsEt mon ?il noir te regarde 'Et c'est depuis ce jourQu'un torero me condammeA balayer sa courPour l'avoir faite a sa femmeTaka takata kata kata kataJ'entends mon c?ur qui batTaka takata kata kata kataAu rythme de ses pas
Tellement bu, tellement fume
Je n'me souviens meme pas de la couleur de ses yeux,Je crois bien qu'ils etait verts, j'parie qu'ils etaient bleus.Je me rappelle seulement que je les aimais,Tellement bu, tellement fume.Dans ma memoire brouillard, je ne retrouve plus son