Facile a direMais comment m'imaginerQu'au bout d'un reveC'etait toi qui m'attendaitEt quand je pense que tout ce tempsTu etais seule, toi aussiTu vois, un peu comme moiQu'on aurait pu se retrouverQu'on aurait pu tout oublierTu vois, un peu comme ca
Un peu de paradis
Tu ne portes plus ta robe clairs des jours d'eteEt tu as perdu le gout de plaire et de chanterCe n'est pas pour une larme que tu as verseeQu'il faut changer ta vie, oublier de reverQu'il faut changer ta vie, oublier de reverEt les soleils couchants et les etoiles de la nuitEt les chansons du vent et les chemins de l'infiniT'attendent au fond de toi, sont tes richesses, tes amisOn a tous en nous un peu de paradisViens, fais-toi jolie, oublie ce soir qu'il n'est pas laViens, on va sortir en amoureux comme autrefoisDonne-moi un peu de ton chagrin a partagerRien n'a change ma vie, je n'ai pas oublieRien n'a change ma vie, je ne peux pas t'oublierEt les oiseaux tout blancs et les montagnes sous le cielL'eau vive des torrents, les plages d'or sous le soleilM'ont tant parle de toi, m'ont dit que rien n'etait finiOn a tous en nous un peu de paradisEt les soleils couchants et les etoiles de la nuitEt les chansons du vent et les chemins de l'infiniT'attendent au fond de toi, sont tes richesses, tes amisOn a tous en nous un peu de paradis
Vade retro
Si tu chantes: 'Mon cul sur la commode'C'est gagne, t'as trouve la methodeDans six mois tu seras a la modePense pas trop, vade retroJ'ai vu la petite egliseTout pres du doux caboulotC'etait au temps des cerisesPense pas trop, vade retroLa rengaine, c'est la meme depuis les Grecs et les OstrogothsEt on danse, on avance a reculons comme dans un tangoOn tourne en rond, on revient au departOn voit sortir la nouvelle vague du fond d'un vieux tiroirSi ta petite amie met les robesQui allaient a Cleo de MerodeC'est pas pour le plaisir, c'est la modePense pas trop, vade retroJ'ai vu les rois du petroleFlamber a Monte-CarloTiens-tiens, c'est les annees follesPense pas trop, vade retroLa rengaine, c'est la meme depuis les Grecs et les OstrogothsEt on danse, on avance a reculons comme dans un tangoOn tourne en rond, on revient au departOn voit sortir la nouvelle vague du fond d'un vieux tiroir