Achilles aux rives du Scamandre Pille, detruit, met tout en cendres Cest n'est que feu, que sang, qu'horreur, Un con paroit, passe-t-il outre? Non, je vois bander mon jean-foutre Le heros n'est plus qu'un Fouteur De Fout la fable fourmille Le Soleil fout Leucothoe Cynire fout sa propre fille Un Taureau fout Pasiphae Pygmalion fout la statue Le brave Ixion fout la nue On ne voit que foutre couler Le beau Narcisse pale et bleme Brulant de se foutre lui-meme Meurt en tachant de s'enculer. Socrate, dires-vous: се sage Dont on vante l'esprit divin Socrate a vomi peste et rage Contre le sexe feminin Mais pour cela le bon Apotre N'en n'a pas moins foutu qu'un autre Intrepretons miens ses lemons, Contre le sexe il persuade, Mais sans le cul d'Alcibiade Il n'eut pas tant medit des cons. Mais voyons ce brave Cynique, Qu'un bougre a mis an rang des chiens Se branler gravement la pique A la barbe des Atheniens Rien ne l'emeut, rien ne l'etonne L'eclair brille Jupiter tonne Son vit n'en est point demonte Contre le Ciel sa tete altiere Au bout d'une courte carriere Decharge avec tranquilite Cependant Jupin dans l'Olympe Perce des culs, boure des cons, Neptune au fond des eaux у grimpe Nymphes, Syrenes et Tritons; L'ardent fouter de Proserpine, Semble dans sa couille divine Avoir tout le feu d'enfers Amis, jouons les memes farces, Foutons tant que les cons des Garces Nous foute enfin Tame a l'envers. Tysiphone, Alecto, Megere Si Ton foutoit encore chez vous Vous Parques, Charon et Cerbere De mon vit vous tatierez tout. Mait puisque par un sort barbare On ne bande plus au Tenare, Je veux у descendre en foutant, La mon plus grand tourment sans doute Sera de voir que Pluton foute Et de ne pouvoir faire autant Redouble done tes infortunes Sort, foutu fort, plein de rigeur C'est n'est qu'a des ames communes A qui tu peux foutre malheurs. Mais la mienne que rien n'alarme Plus ferme que le vit d'un carme Se rit des maus present, passe Qu'on m'abhorre, qu'on me deteste Que m'importe, mon vit me reste Je bande, je fous, c'est assez.

А. Пирон. Ода Приапу*

Ебать девять парнасских шлюх, Ебать любовника Дафны, Чей вялый хуй не поднимется, Пока его не вздрочат. Только тебя зову я на помощь, Тебя, коий посреди пизд красным хуем Бросаешь густые пузыри заебин, Приап! поддержи мой дух И на миг в мои жилы Вдохни жар твоих муд.
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