Nos voiles se fondent au meme feu Nos corps se glissent Jusqu'aux plages d'Atlantis Les sirenes te previennent Qu'un voilier s'approche de ton corps Plein de rubans Et de papillons blancs Pour ton ventre d'enfant Le silence immense Juste la musique de ton c?ur Personne autour Que nos haleines d'amour Aquarelle, nouvelle Sur des fils de laine roses et blancs Ferme les yeux Dehors il pleut, dehors il pleut un peu, un peu Paroles et Musique: Francis Cabrel 1980 'Fragile'
Je sais que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute J'pourrai pas me tromper C'est allume la nuit. S'il te reste un instant Faudra que tu m'ecoutes Faudra que tu m'attendes Faut pas que tu m'oublies De l'autre cote de toi Je suis presque sur qu'il n'y a plus rien De l'autre cote de toi Le desert commence ou finit ta main Toute l'eau qui ruisselle Au fil de tes cheveux J'ai encore besoin d'elle Pour rafraichir mes yeux Est-ce qu'au moins tu m'entends Quand j'appelle au secours? Je suis jaloux des colliers De diamants qui t'entourent De l'autre cote de toi Je suis presque sur qu'il n'y a plus rien De l'autre cote de toi Le desert commence ou finit ta main Laisse-moi t'endormir Une nuit boreale Sur un lit de petales Aux reflets de saphir Laisse-moi me blottir Sur ta peau quatre etoiles Dans ton corps cathedrale Et ne plus revenir Je suis presque sur qu'il n'y a plus rien Et le desert commence ou finit ta main Je sais que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Je sais que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Je sais que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Que tu vis la-bas Au bout de l'autoroute Paroles: Francis Cabrel. Musique: Otis Redding 1999 'Hors- saison'
Titre original: 'I've been loving you too long'
note: Adaptation francaise du titre d'Otis Redding (1965).
Je t'aime depuis toujours Et je viens seulement te dire Je t'aime pour longtemps encore Tes mots de velours Ta peau jusqu'a en eblouir Tes yeux de chercheur d'or Toutes ces nuits d'hiver Ces longues, longues journees de pluie J'en entends parler chez les autres Moi, quel que soit le ciel