Nous comptons tous les deux: une deux trois Et Paris qui bat la mesure Paris qui mesure notre emoi Et Paris qui bat la mesure Nous fredonne, fredonne deja {au Refrain}
Au troisieme temps de la valse Nous valsons enfin tous les trois Au troisieme temps de la valse Il y a toi, y a l'amour et y a moi Et Paris qui bat la mesure Paris qui mesure notre emoi Et Paris qui bat la mesure Laisse enfin eclater sa joie. {au Refrain}
Lalala la lalala Paroles et Musique: Jacques Brel 1977
La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brulait La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Et la nuit peu a peu Et le temps arrete Et mon cheval boueux Et mon corps fatigue Et la nuit bleu a bleu Et l'eau d'une fontaine Et quelques cris de haine Verses par quelques vieux Sur de plus vieilles qu'eux Dont le corps s'ensommeille La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brulait La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Et mon cheval qui boit Et moi qui le regarde Et ma soif qui prend garde Qu'elle ne se voit pas Et la fontaine chante Et la fatigue plante Son couteau dans mes reins Et je fais celui-la Qui est son souverain On m'attend quelque part Comme on attend le roi Mais on ne m'attend point Je sais, depuis deja Que l'on meurt de hasard En allongeant le pas La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Sur le fleuve en amont Un coin de ciel brulait La ville s'endormait Et j'en oublie le nom Il est vrai que parfois pres du soir Les oiseaux ressemblent a des vagues Et les vagues aux oiseaux Et les hommes aux rires Et les rires aux sanglots Il est vrai que souvent La mer se desenchante Je veux dire en cela Qu'elle chante D'autres chants Que ceux que la mer chante Dans les livres d'enfants Mais les femmes toujours Ne ressemblent qu'aux femmes Et d'entre elles les connes Ne ressemblent qu'aux connes Et je ne suis pas bien sur Comme chante un certain