Des visages et des voix qui ne me quittent pas Autant de coups au c?ur et qui tuent chaque fois Une ville que la nuit rend imaginaire Une route qu'on prend comme on reprend de l'air Et les papillons retournent bruler leurs ailes pour toucher la lumiere pour enerver l'hiver Pour un peu d'ephemere J'ai laisse des bouts de moi au creux de chaque endroit Un peu de chair a chaque empreinte de mes pas Des visages et des voix qui ne me quittent pas Autant de coups et c?ur et qui tuent chaque fois Un matin pour s'etonner de nos impudeurs Signatures alibis, mais il est deja l'heure Et les papillons retournent bruler leurs ailes pour toucher la lumiere Pour enerver l'hiver Pour que tout s'accelere J'ai laisse des bouts de moi au creux de chaque endroit Un peu de chair a chaque empreinte… Paroles et Musique: Jean-Jacques Goldman
Dors, bebe, dors Bebe, dors, il pleut dehors Dors encore Dors, bebe, dors Bebe, dors, il pleut dehors Dors encore Il n'est pas tard et le matin S'est perdu sur son chemin Il nous reste quelques heures Avant que la nuit de meure Dors, mon amour, dors Mon amour, dors, il pleut dehors Dors encore Dors, mon amour, dors Mon amour, dors, il pleut dehors Dors encore Il n'est pas tout a fait demain Rien ne presse ce matin Il nous reste quelques heures De quietude et de tiedeurs Et moi, j'ecoute les bruits de vos silences Dans notre ilot de chaleur et de confiance Quand le soleil sera la, vous partirez Parce que c'est comme ca Autre part, autres combats D'autres que je connais pas Et je guetterai vos pas Dors, bebe, dors Bebe, dors, il pleut dehors Dors encore Dors, bebe, dors Bebe, dors, il pleut dehors Dors encore C'est tout juste l'aube et demain Paresse un peu ce matin Et moi, pendant que je veille Je surveille vos sommeils Si vous saviez comme vos sommeils Veillent sur mes trop longues veilles