Ecoutez, bonnes gens, la cruelleEt douloureuse histoire des freres DaltonQui furent l'incarnation du malEt que ceci serve d'exempleA tous ceux que le diable ecarte du droit chemin.Tout petits a l'ecole…A la place de crayons ils avaient des limes,En guise de cravates des cordes de lin.Ne vous etonnez pas, si leur tout premier crimeFut d'avoir fait mourir leur maman de chagrin.Tagada, tagada, voila les DaltonTagada, tagada, voila les DaltonC'etaient les DaltonTagada, tagada, y a plus personneLes annees passerent…Ils s'etaient debrouilles pour attraper la rageEt ficeler le docteur qui faisait les vaccinsEt puis contaminerent les gens du voisinageS'amusant a les mordre, puis accusaient les chiens.Tagada, tagada, voila les DaltonTagada, tagada, voila les DaltonC'etaient les DaltonTagada, tagada, y a plus personneIls devinrent des hommes…Un conseil, mon ami, avant de les croiserEmbrasse ta femme, serre-moi la mainVite sur la vie va te faire assurerTranche-toi la gorge et jette-toi sous l'trainTagada, tagada, voila les DaltonTagada, tagada, voila les DaltonC'etaient les DaltonTagada, tagada, y a plus personneMais la Justice veillait…Comme tous les jours leurs tetes augmentaient d'vingt centimesdes centimes americainsQu'ils etaient vaniteux et avides d'argentIls se livrerent eux-memes pour toucher la primeCar ils etaient encore plus betes que mechantsTagada, tagada, voila les DaltonTagada, tagada, voila les DaltonC'etaient les DaltonTagada, tagada, y a plus personne
Les joies de la cuisine
Je donne toutes mes chemises a la laverie automatiqueLa concierge me monte mon cafe et mes tartinesMais la vie n'est pas facile sans les joies de la cuisineJe ne fume que des havanes, je bois du 'Chateau Laffitte'J'ai des beaux draps de soie mais c'est a peine si j'en profiteS'il y a une chose qui me manque, c'est bien les joies de la cuisineMoi qui suit la sante, moi qui deteste le regimeQui n'ai jamais fait Careme, c'est pas les soirs que je dineEt pourtant Dieu sait si j'aime les joies de la cuisinePar pitie pour un pauvre homme que les plats du jour deprimentN'y a-t-il personne pour me sauver de la famineEt qui soit aussi porte sur les joies de la cuisineLa cuisine, la cuisine