XLIV
Нац. арх.
Бывшая серия F9 (
Copie de la 3-me petition presentee a la barre de l’assemblee de la convention Nationale le 7 octobre 1792, premier de la republique francoise.
Les entrepreneurs menuisiers de la ville de Paris au nombre de 270 qui ont tous fourni aux champs de la federation generalle des francois le 14 juillet 1790 et nous n’avons pas ete paye… nous nous sommes presente a l’assemblee Legislative le 26 fevrier dernier pour la prier d’ordone notre payement l’on nous a renvoye au comite de liquidations qui nous a fait faire un nombre prodigieux de demarches inutiles.
Le 27 May nous nous sommes encore represente a la barre. L’assemblee a ordonne que le raport de notre petition se feroit au plus tard dans trois jours, nous avons encore sollicite les membres du comite de l’extraordinaire des finances ou nous etions renvoye et toujours meme delai.
XLV
Нац. apx.
№ 276.
Cote F9 (sous-serie en cours classement section Moderne).
A Monsieur Roland ministre de l’interieur de la republique francoise.
Monsieur,
Les entrepreneurs menuisiers de la ville de Paris au nombre de 270 qui ont fourni: auchamps de Mars pour la federation generalle du quatorze juillet 1790 se sont presante deux fois a la barre de l’assemblee legislative pour reclamer leurs payements, elle les a renvoye a ses comites ou ils ont sollicite tres longtemps sans savoir qu’il falloit que leurs pieces fussent, presante au departement de Paris et par suite au ministre de l’interieur. A la fin nous sommes encore represente pour la 3-eme fois a la barre le dimanche 7 du present L’assemblee Convantionnelle a eu la bonte de nous accueillir et de decretter que le raport de notre petition lui seroit fait sous 24 heures; nous nous sommes empresses de faire vizer nos pieces par le departement qui vous les a renvoye le 17 du presant, nous avons pris la liberte d’aller souvent dans les bureaux de M-r Champagneux qui a nos dittes pieces entre les mains et qui nous a fait promettre qu’elle feroit incessamant renvoye au president de le convention Nationalle. Mais comme il vaut mieux s’adresser a la source qu’aux ruisseaux nous vous conjurons de vouloir bien donner vos ordres pour que nous n’eprouvions pas un plus long retard. Si nous avons reste si longtemps dans le silance c’est que la patri l’avoit besoin de nos efforts, mais a force de sacrifice nous sommes totalemant epuise, ce qui nous force malgre nous d’etre importun.
Lanoa, menuisier, rue De l’arbre sec № 248, l’un des commissaires, nomme par ses confreres, ce 24 octobre 1792, p-re de la republique francaise. J’ai l’honneur de joindre a la presante, copie de la derniere petition que nous avons presente a la convention nationalle.
XLVI
Нац. арх.
D. VI-6. (1791)
Tres humble et tres respectueuse petition des marchands Bouchers
du faubourg Saint-Germain de la ville de Paris; adressee a Messieurs du comite des finances de l’Assembee Nationale.
Messieurs,
Les Marchands Bouchers du faubourg Saint-Germain pour faciliter les malheureux ouv[r]iers et artisans dans ce tems de penurie du numeraire, se sont determines de prendre en payement de la viande qu’ils leur fournissent les coupons d’interets d’assignats de trois livres, quatre livres dix sols, que ces memes ouvriers recoivent en payement de leur salaire. Ils s’etoient persuades. Messieurs, que les administrateurs de la caisse de Poissy ne leur feraient pas difficulte de recevoir ces coupons en payement des droits qu’ils percoivent pour le compte de la Nation. Effectivement il y a environ quinze jours que les commis a la caisse de Poissy en venant faire leur recette chez les exposants prirent en payement lesdits coupons; mais la semaine derniere ils les refuserent absolument et leur notifierent que s’ils ne donnoient pas des especes, leur viande n’entreroit pas dans Paris; que tels etoient les ordres que les administrateurs de ladite caisse les avoient charge de leur notifier.
Les suppliants pleins de confiance dans la sagesse et la justice de l’auguste assemblee nationale, ont continue le recevoir ces coupons; ils prennent la respectueuse liberte de lui adresser leur petition et ils esperent qu’elle donnera des ordres aux administrateurs de ladite caisse pour qu’ils recoivent en payement les coupons d’assignats cy-dessus enonces; aussi aux barrieres pour l’entree du pied fourche; et ils continueront leurs v?ux au ciel pour la prosperite des membres de l’auguste assemblee.
(18 подписей)
XLVII
Нац. арх.
D. XXIX-b 33, пачка 347. Е. XXIX. Recherches.
(Совершенно безграмотная рукописная афиша).
Avis a tous les francois.
Les ouvriers de Differand etat Tousse reunis ansemble voiet avecque Douleur qua prais le lons Silance quille son obblijes de sedeclarer leur intantions se voians bercer par de belle promesse d’une soidisant municipalite qui ne se plait qu’a les samusse sepandans le jour tant recule va donc arriver. Le Roy se declare ans dressant cest veut a d’Artois et Conde qu’ils viennent a son secour pour le delivre lui et sa famille de lesclavaga dantre les main des tirants nous nous somme trouve arivee est ceux quil ne le sons pas nous sorond antrouve neus avons jure detre fidelles a la nation a loi est aux roy mais puis que les tirans ne veuillent plus de roy qui n’a jamais voulus que le bonheur de son peuple nous retirons notre serment est nous avons jure de repandre jusse qu’a la derniere goutte de notre sang pour la couronne.
Vu est aprouve par nous.
president
La bouche de fer,
